Iceberg de la formation avec DIPLONOVA
Belle iconographie pour mieux comprendre les enjeux de la formation, à retrouver sur LinkedIn et sur le site de Diplonova avec Steven Chazal.
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L’IA au service du commerce : ADVALO a publié un livre blanc sur le CRM avec des cas d’école très intéressant.
On y retrouve les grandes lignes de la gestion de projets : 1 stratégie – 2 choix – 3 plans d’action !
A l’heure où les stratégies ont peine à se réinventer, la notion de budget de communication est toujours et encore plus d’actualité. Voici quelques conseils bienvenus pour argumenter sur l’investissement plutôt que sur la dépense avec WeAreCom !
On parle beaucoup de télétravail quand cela peut se mettre en place. De nouveaux usages qui ont pris une avance énorme à cause de la crise sanitaire. D’autres hypothèses sont possibles et l’article de DAF MAG permet de voir une autre piste pour accompagner ces nouveaux usages au travail !
A découvrir !
On pense souvent à jeune-homme-diplomé quand on imagine le créateur d’une start-up… On imagine moins une jeune-femme-diplomée à la même place ! On imagine sans doute encore moins un jeune-parent-diplômé pour créer une société où il faut investir ses jours et ses nuits !!! Les a-prioris ont la vie dure…
Women Today… revient sur le sujet et donne un exemple d’initiative très intéressante dans une start-up qui grossit bien !
Comment l’Europe peut-elle contrer l’influence des GAFAM ?
OUEST France se penche sur ce sujet et constate que même si l’Europe a pu proposer un règlement comme le RGPD pour cadrer les pratiques sur Internet, les pays européens restent divisés comme pour la règlementation en matière de 5G.
Étonnantes découvertes en lisant le numéro spécial d’Historia sur les femmes en février 2021… pas seulement sur l’existence de toutes ces exploratrices, scientifiques, psychologues, historiennes, auteures qui ont fait l’Histoire mais dont l’histoire est non seulement oubliée mais qui n’a pas été racontée.
Comment expliquer ce déni total de l’œuvre des femmes au cours des siècles en France ? Cela s’explique quand c’est pour le pouvoir et pour le « vol » de maternité par les hommes en concurrence sur le même sujet (scientifique, économique, voire culturel). Cela s’explique aussi sur des sociétés patriarcales où la femme devait se travestir pour se réaliser sur des métiers d’homme.
Cela s’explique mais comment l’accepter ?
Et ce qui est frappant, c’est le déni de ces œuvres et dans tous les domaines. Comment expliquer ce déni, cette mise aux oubliettes, ce refus d’existence ? Et on est même allé jusqu’au déni de ce déni !
Bien sûr, comme le précisait récemment Najat Vallaud-Belkacem : « héroïser les femmes, ce n’est pas remettre en cause le système de domination masculine ». Seulement laisser sous silence c’est oublier et nier sans aucune possibilité de retour, c’est un reset, un effacement de la mémoire, une petite mort… Et sans parler forcément des auteurs/auteures ou des héros/héroïnes, revenir aux faits : les découvertes, les œuvres, les théories, les résultats, les projets, les innovations… tout ce qui a fait l’évolution humaine et qui pour la plupart n’est même pas connue (ni en direct, ni à travers la récupération par un homme)… Que de gâchis…
Comment en est-on arrivé là ? La question amène devant un abîme sidéral. Et comment en sortir ?
Et peut-être qu’alors, on aura beaucoup de plaisir à découvrir un passage de notre Histoire sans se dire qu’on nous a amputé de toutes ces exceptionnelles innovations pour le bien (ou pas !) de l’humanité !
Webinar très intéressant avec ADN OUEST le 25 janvier dernier, sur les bonnes pratiques en sécurité informatique : des témoignages et des conseils avisés ; merci à Jacques KEROULIN – RSSI de Verlingue et à Franck BUISSON-THUILLIER – Directeur Technique du Groupe Asten. Un aperçu des stratégies à penser avec les cyberattaques et l’environnement télétravail des derniers mois qui deviennent un « classique » et qu’il faut donc intégrer dans notre quotidien.
L’année 2020 nous a challengés à plusieurs niveaux. Nous avons dû nous réinventer, imaginer de nouveaux procédés, manager à distance… tout en gardant le cap fixé.
Cinq mots clefs à philosopher pour parler communication de crise :
ANTICIPATION – REACTIVITE – TRANSPARENCE – EMPATHIE – MOBILISATION
C’est ce que propose Florian Silnicki, Fondateur de l’Agence LaFrenchCom, via un article du Point…
et dans tous les cas, rebondir sur la relation déjà initiée et la confiance existante…
… on ne démarre pas la com’ en période de crise, on l’amplifie, on la peaufine, on la pense en stratège et on part de l’existant !
Dans son très bon essai « L’Amérique, la facture » aux éditions Baker Street, Jean-Luc Hees décrypte la stratégie anti-presse de Donald Trump. Son constat est sans appel, l’ancien président (enfin, il est toujours au poste jusqu’au 20 janvier 2021), a désigné la presse comme ennemi public numéro 1.
Le journaliste précise même :
« Donald Trump, et il l’a répété à plusieurs reprises, a songé à réviser les lois sur la diffamation. C’est une méthode « douce » très connue des dictateurs et autres chefs d’Etat autoritaires. Les procès en diffamation, avec à la clef, au gré des lois, de très lourdes amendes, peuvent ruiner des organes de presse les plus influents et les plus puissants. Partout, en Amérique latine, en Russie et dans certains pays d’Europe, cette pratique se généralise et parvient souvent à museler la presse. »
Et d’ailleurs, J.L. Hees cite Jonathan Greenblatt, responsable de l’Association Juive contre la diffamation, après l’affaire George Floyd sur Facebook et les messages d’incitation à la haine : « les partisans de Trump « devraient apprendre l’histoire. L’ignorance ne constitue pas une excuse. »
En twittant à longueur de journées, Trump s’est instauré communiquant, le seule à transmettre les informations… en arguant que la presse n’est que propagateur de « fake news », il a imaginé un nouveau procédé, celui des « post-vérités »… ou « faits alternatifs », « qui, grossièrement, prône la nécessité du mensonge pour gouverner. »
Et grâce aux réseaux sociaux, la force de frappe de Trump est sans précédent. Et cela perturbe grandement les grands organes de presse américaine.
Jean-Luc Hees reconnaît le professionnalisme de Twitter, dont « Jack Dorsey, le patron de Twitter est sans doute doté d’une conscience politique. »
L’ancien spécialiste politique de France Inter critique par contre à Facebook, qui a son rôle à jouer dans la place que prend Trump sur les réseaux sociaux. Il cite : « Dans une démocratie, affirme Zuckerberg, c’est aux gens de décider ce qui est crédible ou pas. Cela ne relève pas de notre responsabilité. » Une formule qui, somme toute, résume assez bien la philosophie globale du « trumpisme ».
Et c’est dangereux, car même si Biden a été élu et haut la main, quand le livre a été publié, les élections n’avaient pas eu lieu, et l’auteur de « L’Amérique, la facture » pensait que
« Comme en 2016, ce seront les réseaux sociaux qui feront pencher la balance d’un côté comme de l’autre, Donald Trump ou Joe Biden. Les entreprises gérant Internet sont principalement sous influence américaine, financière et politique. »
Les élections américaines ont changé la donne et les Démocrates reprennent la main. Le Trumpisme aura transformé la vision de la démocratie et la facture va en effet être difficile à payer… aux USA et de par le monde entier.