nouveaux algorithmes sur Meta

Depuis février 2023, Meta ne proposera plus l’option qui permettait de cibler les adolescents en fonction de leur sexe et les annonceurs ne pourront bientôt plus cibler les utilisateurs de moins de 18 ans en fonction de leur activité sur Instagram et Facebook.

Affaire à suivre sur Instagram et Facebook… sachant que nos ados sont plus sur TikTok que sur FB !

témoignage d’un client

Frédéric Labussière de la société LEARNATECH au Mans

« Depuis plusieurs années je travaille avec Béatrice. Elle m’a accompagné ainsi que mon équipe dans l’aventure LearnaTech pour mettre en place une stratégie de communication et de fidélisation. Cette première expérience a eu lieu grâce au programme Dinamic+ « développement commercial » de la CCI. Ensuite nous avons travaillé ensemble pour des actions de communication et maintenant Béatrice est devenue une partenaire pour réaliser des formations sur le marketing digital orienté pour les organismes de formation. Son adaptabilité en fait une alliée bienveillante. »

Témoignage à retrouver sur ma page LinkedIn !

pourquoi le story telling fonctionne ?

Suite à un sondage proposé autour de la publication d’un reportage en boulangerie, pour un client minotier, j’ai proposé deux lectures : une très factuelle en mode « étude de cas », l’autre plus rédigée en mode « story-telling ». Honnêtement, les retours ont été étonnamment très équilibrés. Le retour à froid de mes sondés amènent un peu de compréhension quant au ressenti lié à un format narratif pour mettre en avant un projet :

« Alors, pourquoi la version story-telling ? Parce que tout au long du récit j’ai la sensation de partager un morceau de réalité du métier de boulanger, je ressens les émotions, la passion… Dans l’autre récit je me sens spectatrice et donc complètement à distance. C’est factuel. L’information est la même mais grâce au story-telling, je me sens plus proche de ce boulanger. »… Merci ! … CQFD !

La naissance du livre de poche

Qui créa le Livre de poche il y a 70 ans?

Le 9 février 1953, Henri Filipacchi, des éditions Hachette, publia à Paris les premiers titres d’une collection appelée à un grand avenir : Le Livre de Poche. Le premier ouvrage diffusé fut un roman de Pierre Benoît, Koenigsmark. Avec un prix trois ou quatre fois moindre que les livres conventionnels, les nouveaux livres au format de poche séduisirent un public jeune et peu fortuné.

Le beau métier de la boulangerie et de son minotier – version story-telling

5h20 : l’horloge s’affole. Je ne suis pas sûr de pouvoir finir pour 6h30 aujourd’hui. Pourtant j’ai démarré dès 22h hier. Heureusement que j’ai un peu anticipé l’absence de mon apprenti. Deux jours qu’il n’est pas au rendez-vous. Avec le jour de congé de mon autre jeune, ça va être dur aujourd’hui.

J’entends mon salarié s’affairer dans le fournil. Je remets de la crème dans la poche et je poursuis la garniture des tartelettes aux abricots. Je vais pouvoir finir la plaque avant de devoir ouvrir une nouvelle conserve de fruits.

Un coup d’œil au four en passant devant et je contrôle la cuisson de la pâte des tartelettes aux fruits rouges que j’ai préparées tout à l’heure. Le chien passe le museau à travers la porte entrouverte et bloquée pour qu’il ne rentre pas dans le labo. « Oui, oui, encore une heure et je m’occupe de toi ! ».

Dans le stock, j’attrape une boîte d’abricots. Les sacs de farine sont là, bien au sec. Les livreurs de la minoterie m’ont apporté le volume de trois semaines la veille et tout est bien empilé. Le commercial est passé aussi récemment. J’apprécie de discuter avec lui. Toujours à l’écoute, toujours de bon conseil. Il est du métier, comme moi. Son père était boulanger, comme le mien. Cela ne s’invente pas.

Et puis depuis qu’on a racheté la boulangerie avec mon épouse, il a fallu se battre. Le minotier nous a conseillé. Par exemple, c’est lui qui m’a dit de négocier avec la banque un prêt pour racheter un four plutôt que de « taper » dans la trésorerie. Et puis en ce moment, il me donne des infos sur les confrères qui bataillent sur le prix de l’énergie. Moi j’ai fait x3 mais certains ont plutôt du x15. Il y aura de la casse.

Quand j’étais ouvrier, à 20 km de là, dans un bourg, je ne voyais pas tout ça. Je faisais ma pâtisserie, j’essayais de m’améliorer constamment. Aujourd’hui, je vois bien qu’il faut être bon dans son métier mais pas mauvais en gestion et en finance. Ah ! C’est sûr : la polyvalence est nécessaire : faire du bon pain, savoir le vendre, savoir se faire connaître et savoir gérer les employés.

Après avoir sorti mes tartelettes du four, je passe au fournil, alors que ma femme arrive dans le labo, repoussant le chien qui voudrait entrer. Ça va être à mon tour de passer une heure à l’appartement et de m’occuper des enfants avant l’école tandis qu’elle s’occupera de l’ouverture de la boutique.

Une fournée glisse sur le tapis roulant, en sortie de four. L’odeur m’enveloppe, comme à chaque fois. La croute est bien dorée. Mon boulanger m’annonce :

– Il a fallu ajuster les dosages, avec l’humidité

– La farine réagit, c’est sûr.

– Tu vois, en vérifiant ça, j’ai pu m’adapter, t’avais raison.

– Oui, une cuisson ratée, ce n’est pas souvent la farine ou le levain, c’est plutôt le boulanger !

J’ai souri, pour adoucir le message même si j’exprime ma propre expérience personnelle !

La « craquante » toute chaude fera le plaisir des premiers clients. La viennoiserie est prête aussi. Du fait maison, des recettes originales, du tout frais. Cela pourrait être notre devise.

Je vole un baiser à ma femme qui s’active derrière l’étal de pains pour la mise en place. Elle me sourit.

– Tu pourras préparer plus de petites tourtes aux prunes cet après-midi. Elles sont toutes parties très vite hier.

– Oui, tu me l’as dit. Mais peut-être qu’il vaut mieux passer à autre chose ! De la frustration nait le désir !

Elle glousse. J’éclate de rire !

– J’ai préparé des tartelettes abricots et fruits rouges ce matin. S’ils goutent, ils vont sans doute aussi apprécier !

– Tu as raison, il vaut mieux parfois passer à autre chose même si ça a marché.

De retour dans le labo, l’horloge indique 6h25. L’écran, relié au magasin, sur lequel je vérifie l’affluence et le débit en pain au cours de la journée et surtout en fin de matinée, n’est pas encore allumé.

Mon apprenti boulanger arrive. Il me parle de météo et du dérailleur défectueux de son vélo. Je le laisse rejoindre son collègue au fournil, une fois équipé.

J’ai une belle équipe. C’est un soulagement. Je me souviens du piètre management de mon patron d’avant. Mes gars ne sont pas à « 35 heures zéro zéro » comme on dit. Motivés, du savoir-faire et une bonne posture, même avec les clients quand ils les croisent, ils iront loin. Les petites vendeuses aussi sont super sympa et efficaces. Toujours le sourire et le petit mot gentil pour les habitués et les clients de passage.

C’est sur la com’ qu’il faudra que je réfléchisse. Pour l’instant, le bouche-à-oreille fonctionne bien mais je vais devoir créer ma page Facebook et mettre une enseigne quand même. Mon minotier pourra m’aider là-dessus sans doute. Ils proposent des sachets pour la « craquante » et des affiches. Ils ont d’autres outils d’aide à la vente. Et puis il y a aussi les animations pour faire vivre un peu la boutique.

Cela viendra ! Pour l’instant, je dois me concentrer à faire rentrer le chiffre d’affaires pour payer les salaires. Que je ne puisse pas m’en sortir les premiers mois, passe encore. Mais mes salariés doivent être payés.

Au labo, je passe un coup de balai et un coup de torchon sur les plans de travail.  C’est nickel. Je pourrai reprendre à 8h00 pour les sandwiches et les salades. J’en aurai pour trois heures, sans compter le boulot pour remplacer l’absent. Allez, hauts les cœurs, je vais bien y arriver encore cette fois-ci et je peux compter sur le boulanger pour m’aider à préparer le salé !

Dans le quartier, la concurrence ne me fait pas peur. Les habitués de l’ancienne boulangerie sont contents de m’avoir vu arriver. Ils avaient perdu l’habitude de voir la lumière la nuit dans le labo !

J’ouvre la porte en grand et sors dans la cour.

– Allez mon chien ! On va sa balader.

 


Photos prises en tournée avec MINOTERIE PELLUAU sur des boulangeries de Sainte-Anne-sur-Brivet, Saint-Nazaire, Batz-sur-Mer et Le Croisic.

Le beau métier de la boulangerie et de son minotier – version étude de cas

La boulangerie, c’est un beau métier. Faire du pain, qu’il soit classique avec les baguettes ou que la recette soit plus élaborée avec les pains spéciaux ou les brioches, on retrouve toujours le savoir-faire et l’envie de proposer le meilleur produit aux clients de la boutique.

De manière très traditionnelle (sans jeu de mot !), le boulanger est au fournil quand la boulangère est en magasin. C’est un métier de couple, un travail de binôme.

Et il en faut de la rigueur et de la passion pour tenir ainsi une boulangerie.

A travers une tournée en Loire-Atlantique avec un des commerciaux d’un minotier mayennais, j’ai pu découvrir (encore mieux !) le quotidien de la boulangerie-pâtisserie.

Les témoignages se recoupent :

  • Le boulanger attend beaucoup de son minotier: la régularité du produit (la farine n’est pas tout à fait la même d’une récolte à l’autre), le rapport qualité/prix, le conseil sur les recettes, et bien entendu l’accompagnement sur la gestion de l’entreprise, le retour d’expériences des autres boulangeries suivies par le minotier, et la communication (PLV, lancement d’un produit, animation, etc.)
  • Le savoir-faire de l’artisan tourne autour des produits « maison », d’une large gamme qui va souvent jusqu’à la sandwicherie/traiteur, la nécessité de jouer sur le bouche-à-oreille car c’est souvent le client satisfait qui amène d’autres clients !
  • « On fait gouter le client, il achète et après il revient. »

  • La gestion d’une équipe avec des apprentis, des vendeuses, avec des horaires différents, des motivations différentes aussi, ce n’est pas une mince affaire.
  • Le boulanger a plusieurs « casquettes » : savoir-faire de l’artisan, savoir-vendre en boutique, savoir-gérer l’équipe en production ou en vente et bien sûr savoir-compter ! Tous n’y arrivent pas facilement.
    • Savoir faire : Être boulanger, c’est être à l’écoute des matières premières avec lesquelles on travaille. La météo fait évoluer la farine, selon l’hygrométrie, le stockage des sacs (en intérieur ou à l’extérieur), la durée de stockage (une farine se modifie pendant le stockage et ne va pas réagir de la même manière une fois livrée que trois semaines après la livraison !).
    • Savoir vendre : un boulanger rencontré avait mis en place une caméra dans l’atelier, reliée à la boutique. Ainsi, il gérait à distance le présentoir de pains ; il pouvait aussi savoir ce qui partait et la tendance de la journée, l’heure d’arrivée des premiers clients sandwicherie, etc.
    • Savoir gérer : Un métier où les heures ne sont pas comptées :
    • « Je démarre à 22h-24h parce que sinon, je ne peux pas tout préparer. Entre 7h et 8h je m’occupe de la maison et puis je reprends la préparation du salé pendant 3 heures. Avec les employés, on est bien organisé à la production. »

    • Savoir compter : C’est un métier où la gestion financière est la clef, où les relations avec la banque se doivent d’être claires et fluides, où le minotier accompagne pour les conseils avisés autour de la fixation des prix publics ou de l’organisation à l’atelier.
  • « On ne travaille pas pour la gloire, c’est qu’on en a envie. Ne pas avoir de salaire [les 2 premières années] ce n’est pas un problème. »

Les nuances sont là aussi en fonction de l’expérience du boulanger bien sûr :

  • Un jeune boulanger va bénéficier largement de la « bonne » communication de la ville où il s’installe et parfois la commune est un acteur majeur dans la promotion des jeunes professionnels qui s’y installent.
  • Pour positiver en cette période de crise énergétique, où les factures s’envolent et peuvent prendre 1500%, il est intéressant de « voir d’où l’on vient », déjà sur l’année écoulée et aussi sur le démarrage de la boutique ou celui de la carrière ! Les leçons sont constructives et permettent de rester positif !
  • Un nouvel installé aura plus besoin de l’écoute attentive de son minotier, pour simplement entendre ses difficultés, qu’elles soient d’ordre conjoncturel (l’énergie en ce début d’année) ou structurel (un problème avec un employé, le remboursement d’un prêt d’investissement pour un nouveau four par exemple) et ce, sans jugement, pour l’aider à y voir plus clair et simplement l’écouter.
  • Un boulanger qui a de l’expérience aura plutôt tendance à s’organiser en solitaire sur la communication, la PLV ou l’organisation d’animations ou le choix d’un jeu-concours pour un événement de saison. Par contre, les idées nouvelles, la veille spontanée que propose le minotier sont autant d’informations qui pourront être échangées pour mieux aborder l’avenir.Quatre témoignages, quatre découvertes, quatre tranches de vie. A chaque fois les coulisses et le ballet incessant des artisans dans l’atelier de production, le matériel pour pétrir, préparer,  peser, cuire, stocker. A chaque fois, sur la scène de la boutique, les présentoirs alléchants attirent le consommateur. Et quand le travail cesse un instant pour raconter leur métier, tout de suite s’expriment avec aisance des boulangers qui aiment leur métier et veulent transmettre, des vendeuses qui expliquent leur relation avec les clients et ce dont elles ont besoin pour mieux vendre encore. Une ambiance unique, les odeurs de levain et de bon pain. Un vrai plaisir !

Photos prises en tournée avec MINOTERIE PELLUAU sur des boulangeries de Sainte-Anne-sur-Brivet, Saint-Nazaire, Batz-sur-Mer et Le Croisic.

Ose Ton Futur pour l’égalité des chances, le 11 mars

La deuxième édition d’OSE TON FUTUR aura lieu le samedi 11 mars 2023, à l’IAE de Nantes, dans le bâtiment Erdre privatisé pour l’occasion.

De nombreux ateliers et une conférence plénière avec des rôles modèles permettront aux collégiens et lycéens d’être inspirés pour imaginer leur avenir, dans l’égalité des chances d’accès à la formation et aux carrières dont ils rêvent !

Un RV à ne pas manquer !

 

Minoterie Pelluau : son histoire et ses projets

MINOTERIE PELLUAU plonge ses racines dans l’Histoire !

En 1920, Adolphe Pelluau reprend le moulin de Bouchamps-lès-Craon en Mayenne. En 1965, les 2 fils reprennent l’entreprise et c’est en 1988 que les 2 petits-fils intègrent l’affaire, pour être rejoints par leur sœur 10 ans plus tard. Tous les trois poursuivent l’aventure de la famille Pelluau avec le même sens du service, un savoir-faire indéniable et une volonté de développement qui leur permet aujourd’hui de proposer de nouvelles recettes (comme la « Craquante » ou la « Mayennette ») et toujours plus de qualité dans les farines en modernisant le moulin.

MINOTERIE PELLUAU, ce n’est pas que la préparation des farines et la livraison, c’est aussi l’accompagnement des boulangers dans la création du commerce, la fabrication du pain, les recettes et la commercialisation.

Meunier connu et reconnu en Mayenne mais aussi en Sarthe et sur la couronne Ille-et-Vilaine ainsi que sur la côte de Loire-Atlantique, il est proche de ses fournisseurs et de ses clients. Thierry, Didier et Laurence PELLUAU font de la meunerie un acteur incontournable, intermédiaire entre l’agriculteur et le boulanger, ou comme ils disent : « Du grain au pain avec votre meunier. »

Et pour structurer la stratégie et avancer sur des projets innovants, MINOTERIE PELLUAU effectue aujourd’hui sa deuxième boucle DINAMIC + sur le thème du « design et du marketing de l’offre » après avoir été suivi sur de la « performance interne ». Un accompagnement riche en échanges et en projets pour imaginer le moulin demain !

les tarifs des influenceurs

Le Blog du modérateur a fait paraître une grille de tarifs des influenceurs par réseau social pour 2023.

Cela laisse perplexe quant à la valeur perçue de cette prestation de services !

Si ce n’est que pour déjà aujourd’hui,  93 %  des professionnels du marketing ont déjà intégré l’influence marketing dans leurs stratégies.

A découvrir dans l’article du BDM !

Tribune libre sur le Web3 ou les possibles autour du metavers

Ah ! Enfin un article qui fait le tour de la question en remettant le metavers dans le bon sens !!

Merci WeAreCom pour cet état des lieux précis !

Déjà, sur Nantes Digital Week et régulièrement dans la presse, on parle de metavers et entre les lignes ce ne sont que des infos autour de l’AR ou de la VR ! Et en parallèle, il y a souvent amalgame entre metavers et Web3.

Ici, on comprend la genèse du metavers (à travers la dystopie américaine de « Snow Crash » en 1992) qui invente le concept de l' »univers immersif, structuré et ouvert ». Donc oui, on va utiliser les techniques virtuelles, immersives et les avatars pour « plonger » dans ce concept.

A côté de cela, le Web3 est la version internet avec des technologies décentralisées qui s’appuient sur des serveurs centralisés. Dans le Web3, on trouve les crypto-monnaies, les NFT et la blockchain.

Côté techno pour le web3, l’IA est maîtresse en la demeure, et c’est bien sûr le domaine de l’IoT et de la VR/AR (cités plus haut !). Côté matériel, on retrouve bien sûr les Smartphones, les casques et autres lunettes connectées pour s’immerger.

L’article de WeAreCom parle bien sûr des acteurs du web3, comme Roblox, Fortnite et Meta.

En France, 70% des connaisseurs Metavers sont des hommes et 51% des utilisateurs actuels viennent du monde du jeu. Quand on sait que l’IA est développé presque uniquement par des hommes, on peut imaginer le risque d’une sorte de « mono-pensée » autour de ce concept !

Et pour clore le sujet, l’article termine en amenant des exemples de réalisation économique de grandes marques. Là, on voit que l’imagination des entreprises se cale sur les NFT, le magasin virtuel ou l’événement virtuel avec de la VR et beaucoup de jeu (jeu de la marque ou sponsoring de jeu). Il y a 2 exemples de RH sur le metavers et une passerelle virtualité/réalité pour revenir dans le monde réel. Pour appréhender au mieux le Web3, les marques n’ont plus qu’à revenir vers leurs clients et autres consommateurs pour connaître leur appétence en matière de metavers !