METAVERS : premier metastore aux Etats-Unis
Pour revenir sur le METAVERS, voici une info sur l’ouverture aux US du premier META STORE… pour rendre accessible le virtuel !!!
à découvrir sur l’article de Siècle Digital !
Pour revenir sur le METAVERS, voici une info sur l’ouverture aux US du premier META STORE… pour rendre accessible le virtuel !!!
à découvrir sur l’article de Siècle Digital !
Le digital accompagne la formation !
On retrouve les grandes lignes de cette transformation dans l’article de Siècle Digital qui parle de la révolution EdTech pour le marché des Technologies de l’Éducation.
Mais n’oublions pas les acteurs sur le terrain, les « pros » du e-learning qui œuvrent depuis longtemps, et avant le covid et le sursaut de pratiques digitales que la crise a engendré, des spécialistes de la pédagogie numérique et des outils digitaux. Je pense bien sûr à LearnaTech pour accompagner les OF et les entreprises qui souhaitent booster les formations internes. Je pense aussi aux centres de formation qui mettent en œuvre le digital avec pertinence comme le CNAM !
On peut aussi parler de Réalité Virtuelle et de Réalité Augmentée, et pourtant les bonnes pratiques sont encore à mettre en œuvre pour et avec les apprenants ne serait-ce que sur les usages de la visio, du synchrone et de l’asynchrone… !
Aïe, ça pique !
Dans un article d’e-marketing, on apprend qu’une campagne de pub digitale équivaudrait aux émissions carbone de 35 vols A/R Paris-New York pour un passager.
« Le numérique est responsable d’environ 3,5 % des émissions de CO2 mondiales, avec une croissance de 6 % par an. C’est plus que l’aviation civile ! Nous ne pouvons plus nous permettre de continuer sur cette tendance inquiétante, alors que le réchauffement climatique de la planète est à l’oeuvre », tranche Ludovic Moulard, Head of delivry management au sein de fifty-five et membre du Shift Project – think tank qui oeuvre en faveur d’une économie libérée de la contrainte carbone.
Mais après ces constats terribles, Fifty-five propose des solutions :
Dans la série « prise de hauteur après une lecture », voici quelques réflexions autour de « Platon à la plage » aux éditions Dunod, écrit par Hélène Soumet.
L’allégorie de la caverne pour parler des médias !
Les prisonniers dans la caverne « réalise douloureusement que ce qu’il voyait n’était que les ombres des objets réels. Première désillusion.[ …]Cette réalité fabriquée n’est pas la réalité : deuxième désillusion. […] Ces deux étapes montrent le triste sort de l’homme sans éducation, aveugle croyant voir le réel dans ces ombres furtives et inconsistantes comme dans ces objets fabriqués brandis par les manipulateurs. »
Pour aller vers la vérité, il faut sortir de la caverne, « monter progressivement vers l’intelligible, voir la lumière du soleil sans voir le soleil lui-même. » (le soleil étant ici le bien, la valeur suprême). Et ce qui va différencier le philosophe des autres instruits est que ce premier va éviter de mépriser les prisonniers de la caverne tout en les accompagnant pour qu’ils aient accès au soleil eux aussi.
Savez-vous que le gouvernement des 30 tyrans en Grèce, période pendant laquelle Platon a pu être témoin de la tyrannie criminelle et de ses injustices, a eu lieu en 404 avant JC… tiens, tiens ! … 404… comme quoi il y avait un bug déjà à cette époque-là !
C’est en lisant « Platon à la plage » aux éditions Dunod, écrit par Hélène Soumet, que j’ai découvert ou redécouvert la vision du philosophe sur les types de gouvernement. Platon, dans « la République », décrit les différents types de gestion de la cité. De l’aristocratie (on oublie que cela vient de « aristos », le meilleur !), on passe à la timocratie (les hommes avides de gloire) puis cela dégénère en ploutocratie (« plouto » : riche). Le peuple se rebelle et instaure la démocratie mais ne sachant plus comment se diriger, l’anarchie s’instaure (de « an-arkhia » : absence de gouvernement) pour se transformer en tyrannie (de « turannia », pouvoir absolu), la prise du pouvoir par un seul.
Donner les clés aux marques d’aller « au-delà du storytelling », telle est l’ambition d’Olivier Sère, vice-président de l’agence Havas Paris. L’auteur de Ces entreprises qui vous racontent des histoires (Dunod, 2021) livre ses réflexions sur la construction d’un récit de marque « inspirant et efficace » dans un article d’e-marketing à découvrir.
Transparence, sincérité et expression de la raison d’être comme essentielle mais compliquée… à philosopher
Quand un étudiant BAC+5 informatique en alternance, déjà bien « capé » en termes de pratique de la communication (comme le tryptique écoute active, questionnement et reformulation), vous envoie un message sur l’outil en ligne et vous dit : « À bientôt. Merci pour les cours, j’ai beaucoup appris et les résultats sont au rendez-vous. Et encore merci pour votre aide concernant le support de ma soutenance, mon oral s’est très bien passé. J’ai eu une super note ! Vos conseils ont été bénéfiques. », cela fait plaisir !
Les techniciens sont souvent éloignés de la communication, comme levier de valorisation d’un projet ou d’une équipe. C’est par contre très motivant de leur faire parcourir le chemin vers une communication pertinente et « valeureuse » !
Bouygues Construction annonce le déploiement de son programme « Innovation PME » en partenariat avec l’accélérateur DINAMIC+ et la CCI Pays de la Loire. Cette démarche d’innovation collaborative clients-fournisseurs sur le territoire français est menée depuis 2018 par Bouygues Construction pour répondre aux enjeux de l’innovation en territoire des PME-PMI du BTP.
Belle initiative pour un programme Dinamic « design et marketing de l’offre » où toute l’équipe de la CCI et des consultants est motivée, et j’en fait partie !!!
voir le communiqué de presse CPBYCNDINAMIC08-07-2021 !
un bel article de Maddyness pour se dire qu’on a encore du pain sur la planche ET aussi qu’on peut y arriver, comme dans cette start-up OWKIN !!!!!
Pour clore ce parallèle entre le story-telling en entreprise (avec Tibco et ses wikis) et l’écriture de roman, sur la base de l’article de Wearecom , voici les 2 derniers principes avec le « fait quoi ? » et le « pourquoi ? » !
Quand l’histoire est bien écrite, le contexte bien décrit, les personnages bien campés, l’intrigue bien amenée, le lecteur (ou le spectateur) a envie de suivre « ses héros et héroïnes » dans la suite des aventures, comme « une sorte d’addiction. » « L’identification, la projection, l’universalité, la généralisation, le principe de réalité vont maintenir l’attention et l’implication de votre cible. »
Si on ajoute à cela la souplesse du conteur d’histoire qui va écouter ses lecteurs pour s’adapter et permettre une plus grande proximité et une meilleure adhésion à la story, on peut arriver à ce projet d’adaptation BD pour le wiki de Tibco effectué avec Sébastien Vassant, le partenaire BD depuis le 3è opus de la série des wikis… avant d’évoluer encore en mettant en place un « wiki concept », version BD puis version motion design avec Etienne Bauquin (et voix off Bertrand Decron AUDIOTACTIQUE), posté par Tibco sur LinkedIn.
Ainsi la boucle est bouclée : identification, projection, sujets universels et le lecteur attend la suite !
Ce que disent les lecteurs le montre, l’identification maintient l’intérêt de la cible :
« Très sympa, la vraie vie. »
« Mon fils a repéré qui j’étais dans le wiki et il a enfin compris mon métier et mes missions au quotidien ! »