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les 6 tendances marketing BtoB 2020

L’infographie d’e-marketing est riche d’enseignements : les mutations sont en marche pour les tendances marketing BtoB, que ce soit pour l’événementiel qui s’adapte avec le covid, l’usage des réseaux sociaux, laugmentation du coût d’un lead, la nécessité d’avoir du marketing de contenu…

C’est à découvrir sur e-marketing !

L’école n’est-elle pas toujours un des piliers de la République ?

La petite histoire de la ville de Marseille : elle se lit comme un roman avec Philippe Pujol et « La chute du Monstre » aux éditions du Seuil.

Un passage est édifiant, en page 29, sur l’état des écoles à Marseille… cela va parler en ces temps de réouverture des classes (avec plus ou moins de succès ou de méthode selon les établissements à Nantes et qu’on soit dans le public ou le privé !) :
« Le 28 mars 2019, Libération mettait la main sur un audit déjà réalisé en 2016 par les services de la ministre de l’éducation d’alors, Najat Vallaud-Belkacem. […] «suspicions d’amiante » 38 écoles répertoriées, 38 aussi où des nuisibles (rats) ont été repérés. Problèmes de chauffage de 65. [20] sont aussi estampillés « bâtis délabrés » ou en mauvais état. Au total, 114 écoles sur les 444 d’alors avaient été identifiées comme nécessitant des travaux d’ampleurs différentes. »

CONCORDANCE CONSEIL faucon hauteur 2

De la nécessité de la philosophie en période de crise :

CONCORDANCE CONSEIL faucon hauteur 2PHILOSOPHER, REFLECHIR, PRENDRE DE LA HAUTEUR :

– d’abord avec cette citation d’Avérroès :

« L’ignorance mène à la peur, la peur mène à la haine et la haine conduit à la violence. Voilà l’équation. »

Ibn Rochd de Cordoue, plus connu en Occident sous son nom latinisé d’Averroès, est un philosophe, théologien, juriste et médecin musulman andalou de langue arabe du XIIᵉ siècle, né le 14 avril 1126 à Cordoue en Andalousie et mort le 10 décembre 1198 à Marrakech au Maroc

EN EFFET… LE PIRE DES MAUX EST BIEN L’IGNORANCE…

– et ensuite avec cette parole légère mais néanmoins poétique d’Edouard Baer :

« On va essayer de distraire un peu, de faire ce qu’on sait faire. Au milieu de toutes ces souffrances, de toutes ces peurs, reprendre une conversation gratuite, de celle de la vie ».

Edouard Baer, né en décembre 1966 à Boulogne-billancourt, est une personnalité de théâtre, radio, TV et cinéma. Il est auteur, metteur en scène, comédien, producteur au théâtre, animateur de radio, entre autres.

EN EFFET… FAIRE BIEN CE QUE L’ON SAIT FAIRE… PETITE ET SAINE CONTRIBUTION AU MOUVEMENT !

wiki tibco

Le motion design pour poursuivre le storytelling

Tibco met en valeur ses offres de prestations de service numérique et télécoms ainsi que ses équipes, les Tib’s !

Après une adaptation réussie des wikis Tibco, ces nouvelles professionnelles innovantes, sur les différentes briques de service, avec une planche de BD de Sébastien Vassant, ce dernier a conçu un recueil de BD sur le concept du storytelling Tibco.

Maintenant, c’est avec une minute et demie de motion design que le concept des wikis Tibco est présenté. Elaboré avec Etienne Bauquin et Bertrand Decron d’Audiotactic pour l’ambiance sonnore, le motion design wiki met en lumière d’une belle manière cette expérience de « storytelling puissance 10 » !

Tibco l’a mis en ligne sur sa page LinkedIn.

la relation client à l’épreuve de la crise et le rôle de la communication

Pour reprendre le fil de la communication de crise, il est intéressant de prendre de la hauteur par rapport aux expériences des acteurs de l’économie aujourd’hui.

La communication de crise se positionne sur une réassurance pour le client par rapport à l’entreprise qui communique : sécurité, valeurs, action, investissement, ce sont les mots clefs qui doivent motiver le contenu de la communication.

L’entreprise peut par exemple informer sur son comportement par rapport à la crise ou au confinement :

– ses actions comme : la transformation de l’outil de production,

– ses outils de pédagogie : quels moyens de sécurité a-t-elle mis en place par exemple,

– ses valeurs en tant que marque « non essentielle »,

– sa story du confinement.

L’entreprise peut aussi proposer du contenu éducatif (tutos, entraînements à domicile, video, visioconf, etc.), voire du divertissement (vidéo, websérie, enquête, tutos do-it-yourself).

Dans tous les cas, le dirigeant doit rester en contact avec ses clients, et surtout rester vigilant pour comprendre les mutations dans les usages. Qui était le client en février 2020 ? Qui sera-t-il (il ne le sait déjà pas lui-même) en juin 2020 ?? Car demain, les usages seront différents : toujours plus de e-commerce, expérience Drive et auto-passage en caisse en retail par exemple.

La relation client pour servir la communication de crise : conserver (voire optimiser !) le dialogue avec le client et co-concevoir avec lui les conditions de déconfinement.

 

On ne lâche rien !

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la relation client au cœur de la crise

Si on écoute les responsables marketing, la relation client est bien un levier de traversée de crise.

Rester proche de ses clients, rassurer, expliquer, revenir aux basiques de la communication pour rester aussi proche que possible, même en période de confinement et pour s’assurer du retour dans les boutiques pour les commerces.

A lire sur e-marketing :

– témoignage d’Yves Rocher

– projet de réouverture des magasins

achats millenials

Un autre regard sur le covi-d : Raffaele Morelli, psychiatre

Raffaele Morelli est psychiatre et psychothérapeute italien. Il est président fondateur de l’Institut de médecine psychosomatique de Riza.

Il s’exprimait le 23 mars dernier sur la crise du corona virus :

« Je crois que le cosmos a sa façon de rééquilibrer les choses et ses lois, quand celles-ci viennent à être trop bouleversées.
Le moment que nous vivons, plein d’anomalies et de paradoxes, fait réfléchir…

Dans une phase où le changement climatique, causé par les désastres environnementaux, a atteint des niveaux inquiétants. D’abord la Chine, puis tant d’autres pays, sont contraints au blocage ; l’économie s’écroule, mais la pollution diminue de manière considérable. L’air s’améliore ; on utilise un masque, mais on respire…

Dans un moment historique où, partout dans le monde, se réactivent certaines idéologies et politiques discriminatoires, rappelant avec force un passé mesquin, un virus arrive, qui nous fait expérimenter que, en un instant, nous pouvons nous aussi devenir les discriminés, les ségrégués, ceux qu’on bloquent aux frontières, qui amènent les maladies. Même si nous n’y sommes pour rien. Même si nous sommes blancs, occidentaux, et que nous voyageons en première classe.

Dans une société fondée sur la productivité et la consommation, dans laquelle nous courons tous 14 heures par jour après on ne sait pas bien quoi, sans samedi ni dimanche, sans plus de pause dans le calendrier, tout a coup, le «stop» arrive.
Tous à l’arrêt, à la maison, pendant des jours et des jours. À faire le compte d’un temps dont nous avons perdu la valeur, dès qu’il n’est plus mesurable en argent, en profit. Sait-on seulement encore quoi en faire ?

Dans une période où l’éducation de nos propres enfants, par la force des choses, est souvent déléguée à des figures et institutions diverses, le virus ferme les écoles et nous oblige à trouver des solutions alternatives, à réunir les mamans et les papas avec leurs propres enfants. Il nous oblige à refaire famille.

Dans une dimension où les relations, la communication, la sociabilité, se jouent essentiellement dans ce non-espace du virtuel des réseaux sociaux, nous donnant l’illusion de la proximité, le virus nous enlève la proximité, celle qui est bien réelle : personne ne doit se toucher, pas de baisers, pas d’embrassades, de la distance, dans le froid du non-contact.
Depuis quand avons-nous pris pour acquis ces gestes et leur signification ?

Dans un climat social où penser à soi est devenu la règle, le virus nous envoie un message clair : la seule manière de nous en sortir, c’est la réciprocité, le sens de l’appartenance, la communauté, se sentir faire partie de quelque chose de plus grand, dont il faut prendre soin, et qui peut prendre soin de nous. La responsabilité partagée, sentir que de nos actions dépendent, non pas seulement notre propre sort, mais du sort des autres, de tous ceux qui nous entourent. Et que nous dépendons d’eux.

Alors, si nous arrêtons la chasse aux sorcières, de demander à qui la faute et pourquoi tout ça est arrivé, pour nous interroger plutôt sur ce que nous pouvons apprendre, je crois que nous avons tous beaucoup de matière à réflexion et à agir.
Parce qu’avec le cosmos et ses lois, de manière évidente, nous avons une dette excessive.
Il nous le rappelle au prix fort, avec un virus. »

la crise du covi-d nous oblige à réévaluer l’utilité sociale des métiers

Très bel article de Dominique Meda, tellement bien exprimé pour mieux réfléchir !

En voici un extrait : « Des bataillons d’aides-soignantes et d’aides à domicile – en très grande majorité des femmes – assument des tâches cruciales pour la solidarité entre les générations. Ils assurent la toilette, les repas, l’aide aux gestes essentiels de nos seniors dépendants. Faute de reconnaissance et de rémunération suffisantes, de moins en moins de personnes effectuent ces activités difficiles. Mais on peut aussi penser aux éboueurs, aux personnels des commerces alimentaires…

Soudainement, les titulaires des métiers les mieux payés nous apparaissent bien inutiles et leur rémunération exorbitante. L’un des premiers enseignements de la crise sanitaire, en somme, c’est qu’il est urgent de réétudier la « hiérarchie » sociale des métiers, en accord avec nos valeurs et relativement à leur utilité réelle. »

Lancement d’une marque en pleine crise

Expérience de rebond pour le lancement d’une marque en pleine crise du corona virus :

EVOLEUM, qui a su :

  • garder le cap
  • recentrer l’essentiel
  • virtualiser ce qui peut l’être
  • proposer du numérique gratuit
  • rester ferme sur ses valeurs
  • ne pas « profiter » de la crise !

C’est à lire sur e-marketing pour la marque

Communication et pertinence sur le web

De bonnes pratiques à reprendre pour avoir un site web en lien avec son offre, les équipes qui la mettent en oeuvre et les valeurs de l’entreprise : à relire sur Econsultancy

Ces propos sont tout à fait en écho à une parole de communiquant Jean-Marc Segati, dg de l’agence Big Success, sur le site e-marketing :

« Quel que soit le support, attention toutefois d’adapter le message s’il a le moindre risque d’être à contretemps, hors propos ou mal perçu. Tous les médias font des efforts pour prendre en compte cette crise majeure en baissant leurs prix, en mettant à disposition des espaces, en proposant des articles personnalisés, des solutions flexibles… »

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