Les initiatives pour la mixité en start-up
un bel article de Maddyness pour se dire qu’on a encore du pain sur la planche ET aussi qu’on peut y arriver, comme dans cette start-up OWKIN !!!!!
un bel article de Maddyness pour se dire qu’on a encore du pain sur la planche ET aussi qu’on peut y arriver, comme dans cette start-up OWKIN !!!!!
Pour clore ce parallèle entre le story-telling en entreprise (avec Tibco et ses wikis) et l’écriture de roman, sur la base de l’article de Wearecom , voici les 2 derniers principes avec le « fait quoi ? » et le « pourquoi ? » !
Quand l’histoire est bien écrite, le contexte bien décrit, les personnages bien campés, l’intrigue bien amenée, le lecteur (ou le spectateur) a envie de suivre « ses héros et héroïnes » dans la suite des aventures, comme « une sorte d’addiction. » « L’identification, la projection, l’universalité, la généralisation, le principe de réalité vont maintenir l’attention et l’implication de votre cible. »
Si on ajoute à cela la souplesse du conteur d’histoire qui va écouter ses lecteurs pour s’adapter et permettre une plus grande proximité et une meilleure adhésion à la story, on peut arriver à ce projet d’adaptation BD pour le wiki de Tibco effectué avec Sébastien Vassant, le partenaire BD depuis le 3è opus de la série des wikis… avant d’évoluer encore en mettant en place un « wiki concept », version BD puis version motion design avec Etienne Bauquin (et voix off Bertrand Decron AUDIOTACTIQUE), posté par Tibco sur LinkedIn.
Ainsi la boucle est bouclée : identification, projection, sujets universels et le lecteur attend la suite !
Ce que disent les lecteurs le montre, l’identification maintient l’intérêt de la cible :
« Très sympa, la vraie vie. »
« Mon fils a repéré qui j’étais dans le wiki et il a enfin compris mon métier et mes missions au quotidien ! »
Encore plus en situation de viso, la posture, la gestuelle et le ton de la voix doivent véhiculer les valeurs du projet que l’on porte !
L’article d’ActionCo est clair là-dessus !
Il faut retrouver du sens dans ses actions de responsabilité sociétale pour éviter de tomber dans des projets « greenwashés »… comme pour cette tendance à planter des arbres pour valoriser le clients…
L’article d’Influencia est très bien fait pour réfléchir sur cette prise de hauteur… la com’ n’est pas l’info, il faut se poser les bonnes questions avant de valoriser son engagement sociétal ou environnemental !
Pour poursuivre la réflexion autour du story-telling, en rebondissant sur l’article de Wearecom, et en faisant un parallèle entre l’écriture de romans historiques et le story-telling d’entreprise, voici les 2 premières phases : le « contexte » et le « qui ? » :
et quelques citations de lecteurs des wiki Tibco :
« Je l’ai passé à mon père qui est client et qui ne visualisait pas bien quand je lui expliquais… il a compris en lisant comment ça se passait. C’est très bien écrit. »
« J’ai adoré, on peut picorer un passage, continuer et reprendre et on comprend tout. »
Wearecom pose les 4 principes fondamentaux du story-telling dans son article Je vais en profiter pour mettre en parallèle l’écriture de stories professionnelles (avec l’exemple de Tibco et ses wikis) et l’écriture de romans historiques et pointer ces éléments en effet essentiels pour bien construire le projet d’écriture.
Mais d’abord pourquoi le story-telling en communication professionnelle ? Raconter une histoire permet de rendre visible, audible, compréhensible l’entreprise et son équipe. Même si le lecteur n’est pas à 100% dans la cible décrite, il peut se projeter et s’imaginer dans la scène racontée. L’émotion ensuite, pilier de la communication pour transmettre, ancrer et créer du lien. Dans un roman, le lecteur s’approprie le texte, les personnages et l’histoire pour la faire sienne. Dans un contenu professionnel, le lecteur (ou l’auditeur si on parle de vidéo) va être « embarqué » dans l’histoire et donc être engagé (pour se transformer en client) !
Quatre phases dans l’écriture sont les principes fondamentaux : le contexte, le « qui ? », le « fait quoi ? » et le « pourquoi ? », phases déclinées dans 2 autres articles à suivre.
Le palmarès Women Equity de janvier 2021 montre quelques éléments toujours étonnants de la situation de l’entreprenariat au féminin :
L’article de Stratégies est éclairant !
En effet, la com’ en distanciel dans le cas du covid ne s’improvise pas ! Et les dirigeants qui n’ont pas formalisé le cadre de leur com’ interne ont souvent du mal à rebondir sur le pilotage des équipes à distance…
C’est comme pour la com’ de crise : si l’entreprise n’a jamais vraiment communiqué sur son offre, ses équipes, ses valeurs, son actu… ce n’est pas quand ça va mal qu’il faut être visible. Car la confiance n’a pas été créée, l’adhésion au projet ne tient pas…
La com’ c’est de la relation humaine, des liens tissés au fil du temps et des messages pertinents transmis régulièrement… tout le contraire de l’impro !
à méditer !
L’organisation mondiale du commerce… après Trump et face aux enjeux liés à la pandémie et aux pays sous-développés qui sont laissés parfois sous domination… tellement plus facile de négocier les ressources minières une fois que les négociations ont été conclues sur l’implantation des réseaux ou des échanges commerciaux !
Focus sur le « job » qui attend la nigériane Ngozi Okonjo-Iweala, première femme et première Africaine portée à la tête de cette organisation multilatérale.
L’article de Jeune Afrique en parle très bien !
Le jeu comme levier de relation et de fidélisation : un aperçu de ce que font les marques sur e-marketing.
Ce qui permet de mettre l’accent sur :
Et pour approfondir le sujet du « jeu », on peut aussi :