communication et crise du covi-d

Communication de crise – un article dans la page LI du groupe Dinamic #J’aiFaitDinamic :

En cette période exceptionnelle de crise sanitaire, où le confinement bouleverse l’économie autant que le quotidien, l’entreprise se doit de trouver sa voix et de communiquer clairement sur la situation.

Après la stupeur et le premier effet K.O. de la crise, en termes de communication, la première règle est bien sûr de « continuer à communiquer », comme on le fait déjà. Il n’est pas pertinent de démarrer un fil d’actu ou des articles de fond si on ne l’a jamais fait auparavant. Ne pas jouer la carte de la récupération ou de l’opportunisme, c’est bien la première règle de la communication de crise. Une crise n’est pas un show, l’image de marque serait complètement mise à bas par les acteurs du marché s’ils le percevaient comme tel.

La communication de crise va suivre les mêmes méthodes que les communications externe et interne mises en place par l’entreprise. Le calendrier rédactionnel peut être par contre revu pour coller à l’actualité mais ce n’est pas une communication à part. C’est la crise qui est à gérer en tant que telle, avec ses phases : phase préliminaire, phase aiguë, phase chronique et phase de cicatrisation. Chaque phase amènera son lot de lamentation et d’opportunité pour améliorer l’organisation ! Chaque phase sera accompagnée d’une communication pertinente en respectant les conseils proposés ici et surtout en restant en cohérence avec la communication de l’entreprise, ses valeurs et sa vision.

Quelques conseils sont intéressants à réfléchir, en fonction des pratiques de l’entreprise… (à suivre sur :

groupe Dinamic #J’aiFaitDinamic)

Communication et pertinence sur le web

De bonnes pratiques à reprendre pour avoir un site web en lien avec son offre, les équipes qui la mettent en oeuvre et les valeurs de l’entreprise : à relire sur Econsultancy

Ces propos sont tout à fait en écho à une parole de communiquant Jean-Marc Segati, dg de l’agence Big Success, sur le site e-marketing :

« Quel que soit le support, attention toutefois d’adapter le message s’il a le moindre risque d’être à contretemps, hors propos ou mal perçu. Tous les médias font des efforts pour prendre en compte cette crise majeure en baissant leurs prix, en mettant à disposition des espaces, en proposant des articles personnalisés, des solutions flexibles… »

emarketing

story telling

Le story telling selon Tibco

Avec le story telling, Tibco met en valeur ses offres et ses équipes. Et en mettant en œuvre la collaboration entre une auteure de nouvelle professionnelle et un dessinateur de BD, le résultat est percutant : pédagogie, clarté, émotion, tout y est pour que le savoir-faire et le savoir-être de Tibco soit lisible et explicite et surtout que cela donne envie aux Tib’s, les collaborateurs, de proposer les services numériques et réseaux les plus pertinents à leurs clients et aux nouvelles recrues d’intégrer en fluidité et en souplesse cette belle PME !

digitalisation, ok dès que c’est utile !

Non, tout n’est pas digitalisable.

Même pour une formation, on peut jouer sur le présentiel et le distanciel, le numérique pendant le présentiel et bien sûr le digital en formation à distance… A chaque fois, se poser la question de l’objectif de l’action avant d’utiliser l’outil adéquat…

… et parfois, un bon vieux « crobard » sur une tableau blanc ou une feuille de papier peut suffire. Parfois c’est un post-it (un vrai) qui fait office de passage de témoin !

A lire en diagonale sur un article de webmarketing-com

séminaire « la stratégie digitale en jeu » ADN OUEST octobre 2019

Un retour sur une thématique majeure aujourd’hui : la stratégie digitale.

Lors du séminaire ADN OUEST à l’automne dernier, les réflexions tournent autour de 6 points essentiels :

LE BUSINESS – #businessoriented

  • différenciation via le web = bcp de leads même si pas bcp de nouveaux clients
  • prendre le temps de la créativité et de la stratégie
  • projet global : web + rfct produit + pricing + SEA + stock + nom de domaine + actu
  • 18 mois pour les premiers résultats après changement stratégie

LA DATA – #datadriven

  • tout est data !
  • l’enjeu de la data : être au service de !
  • être datacentric pour l’efficacité opérationnelle, le développement commercial et l’innovation
  • la data pour prendre des décisions et se différencier par la valeur

LE CLIENT – #customercentric

  • le ressenti dépasse le dit ou le fait, l’expérience construit les souvenirs
  • l’utilisateur se souviendra et va créé l’image de marque et l’ancrage
  • mode projet : construction (aligner l’offre sur les attentes), mesure (avec indicateurs performants) et analyse (des avis) pour amélioration de l’offre

LE SI – #technopush

  • le SI doit être flexible et un accélérateur de l’innovation
  • le SI est créateur de valeur business
  • pour mettre en place une pltf numérique :
    • évaluer la maturité du SI,
    • adapter son organisation
    • urbaniser le SI,
    • poser une gouvernance de pilotage.

LES PERFORMANCES – #processtransformation

  • le digital touche tous les secteurs et tous les métiers dans l’entreprise
  • è diminution des tâches à faible VA
  • è décloisonnement des silos
  • penser à la chaîne de valeur, l’expérience client, la gestion de produit, l’agilité à l’échec
  • diagnostiquer la maturité digitale
  • créer une organisation apprenante et agile

L’HUMAIN – #socialdigital

  • digital = anticiper, coopérer et innover
  • l’humain au cœur, oui mais comment on fait ?
  • 1 – engagement réciproque
  • 2 – 3 cerveaux / 3 émotions / 3 fonctionnels = trouver la bonne motivation
  • par où commencer ? 1 le dirigeant, 2 les middle managers, 3 une approche systémique, 4 le travail collectif

Comment rater sa stratégie digitale ?

Un rappel d’Emmanuel Derrien, CEO de Enjoy your Business, lors de la journée ADN OUEST « digital week » en octobre 2019 :

LES 7 ERREURS POUR PLANTER SA STRATEGIE DIGITALE :

1 – travailler à l’arrache (sans analyse, sans swot, comme je sens)

2 – rester tout seul pour construire sa stratégie

3 – ne pas formaliser et rester abstrait

4 – louper le lancement (pas de séminaire, pas de com’)

5 – ne pas communiquer pendant le projet

6 – ne pas faire adhérer les collaborateurs

7 – être aveugle sur l’avancée des différents projets

DU BON SENS COMME TOUJOURS : cela ressemble à une mauvaise conduite de projet ! Comme quoi, quand on revient aux objectifs, aux enjeux surtout, et qu’on déploie le mode projet, on est plus sûr d’obtenir de très bons résultats et de pouvoir absorber les impondérables des situations risquées que l’entreprise peut vivre dans la « vraie vie » !

 

Story telling chez Tibco :

Un joli témoignage d’une Tib’s, Brigitte Gras, qui met l’équipe au premier plan dans les projets qu’elle gère, en visant toujours l’efficacité pour satisfaire ses clients !
Selon cette Responsable Service Client, souplesse, pro-activité, agilité, voilà les maitres mots pour la gestion des projets chez Tibco Télécoms.
A lire sur le site web de Tibco, dont voici un passage sympa :
Brigitte sourit et de sa voix enveloppante, elle poursuit :
« Nous avons un super esprit et le sens du client, pas seulement l’approche technique. L’envie d’agir en comprenant les enjeux du client. Se comprendre, communiquer, cela permet de débloquer les situations. »
Brigitte met ses Tib’s en avant, en toutes circonstances.

Un peu d’humour au détour d’un musée

L’ancêtre du multi-fenêtrage sous Windows ou Apple : qu’aurait inventé encore Leonardo da Vinci s’il avait vécu au 21è siècle plutôt qu’à la Renaissance ?

emarketing

On se lève tous pour Danette…

Ou comment rester au plus près des innovations technologiques pour affiner sa com’ !

La petite  histoire d’une grande marque qui reste ouverte aux innovations technologiques qui peuvent améliorer son approche des consommateurs au moment de la consommation !! E-marketing raconte.

REALITE VIRTUELLE selon REALITIM –atelier été 2019 à Nantes – via RESSOURCE, groupements d’indépendants créé en 2018

Belle expérience d’atelier en situation avec REALITIM et grâce au réseau RESSOURCE autour de la réalité virtuelle et de l’immersive learning.

En préambule, c’est quoi la différence entre réalité virtuelle (RV) et réalité augmentée (RA) ?

  • La RV permet de s’immerger dans un environnement créé de toutes pièces et donc virtuel, en 3D, où l’on évolue avec son imagination ; un casque est nécessaire. La RV transforme actuellement les secteurs du jeu vidéo, de l’éducation, du médical et du militaire ;
  • La RA part du monde réel pour y ajouter des éléments virtuels (images, indications chiffrées, éléments 3D par exemple) ; des lunettes sont nécessaires (mais donc moins encombrantes qu’un casque de RV).

 

À savoir :

  • 50% de l’info sont oubliées en 1 heure et c’est 90% en 1 mois !
  • en posture de jeu avec le casque sur la tête, 30% des gens n’avancent pas sur la planche qui s’affiche devant eux, dans le vide alors qu’ils ont les pieds bien posés sur le sol dans la salle !

La RV ou comment permettre au cerveau d’ancrer une expérience au niveau du corps et pas seulement de l’esprit ! Le corps qui s’en souvient aura plus facilement la bonne réaction face à la situation.

C’est le même principe qu’en sophrologie quand on fait de la visualisation positive. On bluffe ainsi le cerveau (logiquement l’hémisphère gauche si jamais il existe !!) en lui faisant croire qu’on a déjà réalisé l’action ou vécu l’événement et zou… on est super efficace en mode réel par la suite !

En formation, c’est génial pour accompagner des techniciens de l’extrême, je pense par exemple aux techniciens télécoms qui grimpent sur un pylône et qui sont forcément « tout seul » là-haut ! Idem pour de la sécurité incendie ou des situations d’urgence qu’on ne peut pas reproduire facilement et qui ne sont jamais tant comprises que dans le vécu.

L’immersive learning accompagne tout à fait bien le e-learning.

Le e-learning permet de simplifier la transmission des compétences grâce aux outils numériques, comme le dit si bien LEARNATECH, un spécialiste du e-learning. Et comme l’immersive learning permet d’ancrer l’apprenant dans la réalité de la discipline sur laquelle il se forme, coupler les deux revient à multiplier les moyens de monter en compétences les apprenants pour une prise de poste plus rapide et une assurance dans le geste plus accessible.