une autre vision de la gestion de crise
Une vision décapante mais intéressante de la gestion de la crise du covi-d avec Thierry Crouzet sur son blog.

Une vision décapante mais intéressante de la gestion de la crise du covi-d avec Thierry Crouzet sur son blog.

Avec mon partenaire CBuy Conseil, j’interviens en formation professionnelle à distance chez GRUAU, qui met en place de la formation distancielle pour ses collaborateurs au chômage partiel pendant la crise sanitaire.

Le carrossier mayennais (276 M€ de CA) profite de la crise sanitaire actuelle pour accélérer le déploiement de sa plateforme numérique de formation interne. Baptisé Digital Academy Gruau, cet outil destiné aux 1 600 salariés du groupe de Laval propose des modules de formation autour de thématiques allant du management au développement personnel, en passant par des cours d’anglais et de bureautique. L’usage de cette plateforme se fait sur une base de volontariat et s’inscrit dans la durée. Gruau y intégrera à terme ses plans de formation et de développement de compétence.
Le Journal des Entreprises en parle !
11 caractéristiques de la génération Z… somme toute classique pour des « petites jeunes » et un brin d’actualité et des technologies utilisées le plus aujourd’hui à ne pas oublier… mais attention aux usages… qui virent aux abus quand on parler digital, source d’info et de com’ dont les Z n’ont pas vécu l’émergence ni les coulisses…

Ce portrait robot est à retrouver chez VIVENDI BRAND MARKETING !
Raffaele Morelli est psychiatre et psychothérapeute italien. Il est président fondateur de l’Institut de médecine psychosomatique de Riza.
Il s’exprimait le 23 mars dernier sur la crise du corona virus :
« Je crois que le cosmos a sa façon de rééquilibrer les choses et ses lois, quand celles-ci viennent à être trop bouleversées.
Le moment que nous vivons, plein d’anomalies et de paradoxes, fait réfléchir…
Dans une phase où le changement climatique, causé par les désastres environnementaux, a atteint des niveaux inquiétants. D’abord la Chine, puis tant d’autres pays, sont contraints au blocage ; l’économie s’écroule, mais la pollution diminue de manière considérable. L’air s’améliore ; on utilise un masque, mais on respire…
Dans un moment historique où, partout dans le monde, se réactivent certaines idéologies et politiques discriminatoires, rappelant avec force un passé mesquin, un virus arrive, qui nous fait expérimenter que, en un instant, nous pouvons nous aussi devenir les discriminés, les ségrégués, ceux qu’on bloquent aux frontières, qui amènent les maladies. Même si nous n’y sommes pour rien. Même si nous sommes blancs, occidentaux, et que nous voyageons en première classe.
Dans une société fondée sur la productivité et la consommation, dans laquelle nous courons tous 14 heures par jour après on ne sait pas bien quoi, sans samedi ni dimanche, sans plus de pause dans le calendrier, tout a coup, le «stop» arrive.
Tous à l’arrêt, à la maison, pendant des jours et des jours. À faire le compte d’un temps dont nous avons perdu la valeur, dès qu’il n’est plus mesurable en argent, en profit. Sait-on seulement encore quoi en faire ?
Dans une période où l’éducation de nos propres enfants, par la force des choses, est souvent déléguée à des figures et institutions diverses, le virus ferme les écoles et nous oblige à trouver des solutions alternatives, à réunir les mamans et les papas avec leurs propres enfants. Il nous oblige à refaire famille.
Dans une dimension où les relations, la communication, la sociabilité, se jouent essentiellement dans ce non-espace du virtuel des réseaux sociaux, nous donnant l’illusion de la proximité, le virus nous enlève la proximité, celle qui est bien réelle : personne ne doit se toucher, pas de baisers, pas d’embrassades, de la distance, dans le froid du non-contact.
Depuis quand avons-nous pris pour acquis ces gestes et leur signification ?
Dans un climat social où penser à soi est devenu la règle, le virus nous envoie un message clair : la seule manière de nous en sortir, c’est la réciprocité, le sens de l’appartenance, la communauté, se sentir faire partie de quelque chose de plus grand, dont il faut prendre soin, et qui peut prendre soin de nous. La responsabilité partagée, sentir que de nos actions dépendent, non pas seulement notre propre sort, mais du sort des autres, de tous ceux qui nous entourent. Et que nous dépendons d’eux.
Alors, si nous arrêtons la chasse aux sorcières, de demander à qui la faute et pourquoi tout ça est arrivé, pour nous interroger plutôt sur ce que nous pouvons apprendre, je crois que nous avons tous beaucoup de matière à réflexion et à agir.
Parce qu’avec le cosmos et ses lois, de manière évidente, nous avons une dette excessive.
Il nous le rappelle au prix fort, avec un virus. »
Face au coronavirus, comment les marques peuvent-elles communiquer ?
e-marketing pose la question à ses spécialistes pour 5 idées somme toute classiques mais toujours bonnes à prendre !

Idée n°1 : L’action pour participer à l’effort collectif
Idée n°2 : L’information pour rassurer ou être utile
Idée n°3 : La proximité sur les réseaux sociaux
Idée n°4 : Faire preuve d’originalité
Idée n°5 : Scénarisez et organisez des rendez-vous
Et si vous demandiez ce que souhaite votre communauté ?
On se doutait que le commerce aurait du mal avec le confinement.
Or, même si le commerce alimentaire est toujours sur le pont, les hypers vont traverser difficilement la crise et la situation n’était déjà pas très bonne fin 2019.

E-marketing explique très bien cela :
Le commerce va devoir faire le dos rond, les petits commerces après la crise des gilets jaunes et des grèves ces derniers mois et les hypers aussi par excès de volume. Seules les petites et moyennes surfaces vont pouvoir tenir dans cette crise peut-être !
Les tendances 2020 : expérience client et analyse des données… comment processer le bon sens commercial et l’intelligence des connaissances du marketing !
A découvrir sur le blog du modérateur


Avec le story telling, Tibco met en valeur ses offres et ses équipes. Et en mettant en œuvre la collaboration entre une auteure de nouvelle professionnelle et un dessinateur de BD, le résultat est percutant : pédagogie, clarté, émotion, tout y est pour que le savoir-faire et le savoir-être de Tibco soit lisible et explicite et surtout que cela donne envie aux Tib’s, les collaborateurs, de proposer les services numériques et réseaux les plus pertinents à leurs clients et aux nouvelles recrues d’intégrer en fluidité et en souplesse cette belle PME !

Non, tout n’est pas digitalisable.
Même pour une formation, on peut jouer sur le présentiel et le distanciel, le numérique pendant le présentiel et bien sûr le digital en formation à distance… A chaque fois, se poser la question de l’objectif de l’action avant d’utiliser l’outil adéquat…
… et parfois, un bon vieux « crobard » sur une tableau blanc ou une feuille de papier peut suffire. Parfois c’est un post-it (un vrai) qui fait office de passage de témoin !
A lire en diagonale sur un article de webmarketing-com
Cela ne plaira pas à tout le monde de contrôler l’impact des données… mais pourtant il est urgent d’être lucide pour pouvoir agir !
Un bel article de 01Net sur la question du contrôle de l’impact de la consommation des données sur le climat.