CONCORDANCE CONSEIL formations

croissance du cloud

Selon une étude de GARTNER, le marché du cloud computing poursuit son expansion, pour passer de 1 300 milliards de dollars à 1 800 milliards dans 3 ans.

La crise sanitaire et les pratiques commerciales bougent les usages en la matière… virtuelle !

A retrouver sur Siècle Digital !

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Retour en image sur « ose ton futur » le 26 février 2022 à Audencia

C’était un bel événement pour donner envie aux jeunes de se projeter, d’oser, d’imaginer leur métier et leur carrière !

Pendant cette après-midi, j’ai noté quelques mots clefs marquants pour les collégiens et lycéens : ne pas s’autocensurer – se donner les moyens – se cultiver – trouver des jobs d’été ou des stages pour découvrir – élargir l’ouverture vers des milieux différents – être audacieux – identifier les « alliés d’ascension » – être empathique – aider et s’entraider – ne pas s’ajouter des barrières – sans oublier le « provoquer la chance » d’un 4è de l’atelier commerce !

Je garde en mémoire des phrases inspirantes des témoins de la plénière :
– Aude Amadou – députée de Loire-Atlantique : « Rien n’est impossible, rien n’est écrit, … mais il faut le vouloir ! »
– Brigitte Ayrault – professeure de lettres retraitée : « Il faut détermination et courage pour aller au bout de ses envies. »
– Cédric François – directeur à la Caisse d’Épargne : « J’ai appris la valeur travail et j’ai bénéficié de l’école de la République ; il faut toujours reboucler avec ses valeurs. »
– Jean-Yves Guéno – propriétaire de L’Atlantide : « J’avais un rêve. La restauration est un métier exigent, il faut être courageux ; et on reçoit énormément ! »

Personnellement, (et oui même si je n’ai plus 16 ans depuis longtemps !!!), je retiens qu’il faut AVOIR UN OBJECTIF et persévérer… Mais d’ailleurs, (et c’est ce que je raconte aussi quand j’interviens pour 100 000 Entrepreneurs), une des clefs dans la vie professionnelle n’est-elle pas la PASSION ?? !!

Pour parler éducation

Dans la série « prise de hauteur après une lecture », voici quelques réflexions autour de « Platon à la plage » aux éditions Dunod, écrit par Hélène Soumet.

Pensées sur l’éducation !

« Pour Platon, c’est l’éducation qui permet de développer l’humanité de l’homme. C’est par là qu’il faut commencer pour réformer la cité et assurer la justice dans la cité. »

Dinamic + en Mayenne

De belles entreprises en Mayenne sont accompagnées avec DINAMIC +. J’ai eu l’occasion de suivre des équipes hyper motivées. Que ce soit sur des thématiques de gestion de projet innovant, de numérique ou d’organisation de la production, ces pépites du territoire se sont investies dans ce programme dynamique ! Et les résultats sont au rendez-vous, ne serait-ce que très rapidement dans la mise en œuvre du management d’équipe et de la gestion de projet. Le succès est déjà là !

      

série « prise de hauteur après une lecture » : les médias

Dans la série « prise de hauteur après une lecture », voici quelques réflexions autour de « Platon à la plage » aux éditions Dunod, écrit par Hélène Soumet.

L’allégorie de la caverne pour parler des médias !

Les prisonniers dans la caverne « réalise douloureusement que ce qu’il voyait n’était que les ombres des objets réels. Première désillusion.[ …]Cette réalité fabriquée n’est pas la réalité : deuxième désillusion. […] Ces deux étapes montrent le triste sort de l’homme sans éducation, aveugle croyant voir le réel dans ces ombres furtives et inconsistantes comme dans ces objets fabriqués brandis par les manipulateurs. »

Pour aller vers la vérité, il faut sortir de la caverne, « monter progressivement vers l’intelligible, voir la lumière du soleil sans voir le soleil lui-même. » (le soleil étant ici le bien, la valeur suprême). Et ce qui va différencier le philosophe des autres instruits est que ce premier va éviter de mépriser les prisonniers de la caverne tout en les accompagnant pour qu’ils aient accès au soleil eux aussi.

petite blague numérique

Savez-vous que le gouvernement des 30 tyrans en Grèce, période pendant laquelle Platon a pu être témoin de la tyrannie criminelle et de ses injustices, a eu lieu en 404 avant JC… tiens, tiens ! … 404… comme quoi il y avait un bug déjà à cette époque-là !

C’est en lisant « Platon à la plage » aux éditions Dunod, écrit par Hélène Soumet, que j’ai découvert ou redécouvert la vision du philosophe sur les types de gouvernement. Platon, dans « la République », décrit les différents types de gestion de la cité. De l’aristocratie (on oublie que cela vient de « aristos », le meilleur !), on passe à la timocratie (les hommes avides de gloire) puis cela dégénère en ploutocratie (« plouto » : riche). Le peuple se rebelle et instaure la démocratie mais ne sachant plus comment se diriger, l’anarchie s’instaure (de « an-arkhia » : absence de gouvernement) pour se transformer en tyrannie (de « turannia », pouvoir absolu), la prise du pouvoir par un seul.

Quelques réflexions sur la VA du story-telling

Donner les clés aux marques d’aller « au-delà du storytelling », telle est l’ambition d’Olivier Sère, vice-président de l’agence Havas Paris. L’auteur de Ces entreprises qui vous racontent des histoires (Dunod, 2021) livre ses réflexions sur la construction d’un récit de marque « inspirant et efficace » dans un article d’e-marketing à découvrir.

Transparence, sincérité et expression de la raison d’être comme essentielle mais compliquée… à philosopher

nouvelle série « prise de hauteur après une lecture »

Dans la série « prise de hauteur après une lecture », voici quelques réflexions autour de « Platon à la plage » aux éditions Dunod, écrit par Hélène Soumet.

Sur la place de la femme dans le monde, un peu d’histoire

On oublie vite que la situation des femmes en Égypte, au 5è siècle avant JC, était toute autre que celle des femmes actuelles dans cette région du monde. Les contemporains de Platon l’exprimait déjà, en comparaison avec la place de la femme dans la société grecque très patriarcale en Antiquité, comme Hérodote, qui écrit dans « Historia » au livre II au sujet des Égyptiens : « les femmes vont sur la place, et s’occupent du commerce, tandis que les hommes, renfermés dans leurs maisons, travaillent à de la toile. »

Le témoignage de Simone Veil sur sa vision de l’international : toujours d’actualité ?

Un témoignage précis et une étonnante remontée dans le temps avec la lecture de la vision de Simone Veil sur les relations internationales de la France dans les années 2000. A relire sa biographie (« une vie » – éditions Stock – 2007), on a l’impression que cela n’a pas beaucoup changé. Voici quelques lignes reprises :

  • sur droits de l’homme (p.225-226) « Et puis, autre chose me gêne dans ces droits de l’homme prétendument universels, c’est que, précisément, ils ne le sont pas. Il y a toujours deux poids et deux mesures. Quand il s’agit de négocier des accords commerciaux avec la Chine, le silence est d’or. Quand on cherche à séduire Poutine, on lui décerne volontiers des brevets de civisme, passant sous silence ses manquements aux sacro-saints droits de l’homme. Au fond, ce sont toujours aux faibles que l’on fait la morale, tandis qu’on finit par blanchir les puissants. Ainsi adopte-ton aujourd’hui envers les pays islamistes un modus vivendi qui remise en arrière-plan les fameux droits de l’homme. »
  • sur la sortie du Chili du régime dictatorial (p.227) : « Peut-être pourrait-on s’inspirer d’un tel exemple (l’Afrique du Sud et Nelson Mandela qui a réussi à sortir d’une interminable tragédie ou encore de celui de la réconciliation des Espagnols après la mort de Franco. » et plus loin :

« Un peuple qu’on n’encourage pas à retrouver son unité, et un jour son harmonie, se condamne à un destin dramatique, et il ne peut revenir à la justice internationale de régler de tels problèmes. »

  • Sur l’Europe (p237) : « Mais tout en travaillant sur le plan des principes, ils (les représentants allemands dans la Communauté européenne) œuvraient pour les intérêts économiques allemands, façon habile et moderne de faire vivre la politique. Malheureusement, les Français n’ont jamais compris l’utilité de ce genre d’action, incapables de voir qu’il ne sert à rien de déplorer la perte d’influence de son pays si l’on reste chez soi, les bras croisés. »

Des propos à méditer !

La saga des marques : retour sur la famille Bel

Le « musée » de la Vache qui Rit met en lumière la saga de la famille Bel pour les100 ans de la marque !

Une belle rétrospective de la capacité à innover, à sentir les tendances et les évolutions de la société. Que de rebondissements pour cette famille jurassienne qui a su rebondir justement, car leur vie n’a pas été un long fleuve-de-lait tranquille !

La Vache qui Rit, c’est aussi l’histoire d’une marque, l’énergie toute avant-gardiste de « marketer », de jouer la carte de la « réclame » dans les années 20 déjà ! Une belle leçon d’intelligence économique qui ne peut qu’inspirer !