emarketing

Pour une expérience e-commerce différenciante

Penser le contenu le plus riche et le plus pertinent grâce à l’analyse de la donnée : le jeu de la personnalisation est très efficace !

C’est ce que précise rapidement Adobe  sur cet article relayé par emarketing.

 

emarketing

l’engagement dans la RSE

Selon 60% des Français, les marques parlent trop de la Responsabilité Sociétale des Entreprises sans en faire assez.

L’engagement des marketeurs, des marques et du dirigeant est essentiel pour porter la stratégie RSE de l’entreprise.

L’étude Trust Barometer livre la liste des 16 actions qui seraient susceptibles de faire remonter la cote de confiance d’une entreprise auprès des sondés, dont les cinq premières sont :

  • Être plus honnête avec le grand public (41%)
  • Améliorer les contrôles de la qualité (39%)
  • Arrêter d’agir comme si faire de l’argent est le seul but de l’entreprise (38%)
  • Améliorer le service client (35%)
  • Devenir plus transparent à propos de son business (25%)

A lire sur l’article et l’infographie de e-marketing.

 

 

Les usages d’Internet

La tablette utilisée de plus en plus et le SmartPhone plébiscité par les jeunes… on s’en doutait !

Mais voir les chiffres par tranche d’âge, c’est très clair !

A retrouver sur le site de Mediamétrie

 

wiki tibco

Le motion design pour poursuivre le storytelling

Tibco met en valeur ses offres de prestations de service numérique et télécoms ainsi que ses équipes, les Tib’s !

Après une adaptation réussie des wikis Tibco, ces nouvelles professionnelles innovantes, sur les différentes briques de service, avec une planche de BD de Sébastien Vassant, ce dernier a conçu un recueil de BD sur le concept du storytelling Tibco.

Maintenant, c’est avec une minute et demie de motion design que le concept des wikis Tibco est présenté. Elaboré avec Etienne Bauquin et Bertrand Decron d’Audiotactic pour l’ambiance sonnore, le motion design wiki met en lumière d’une belle manière cette expérience de « storytelling puissance 10 » !

Tibco l’a mis en ligne sur sa page LinkedIn.

communication et crise du covi-d

Communication de crise – un article dans la page LI du groupe Dinamic #J’aiFaitDinamic :

En cette période exceptionnelle de crise sanitaire, où le confinement bouleverse l’économie autant que le quotidien, l’entreprise se doit de trouver sa voix et de communiquer clairement sur la situation.

Après la stupeur et le premier effet K.O. de la crise, en termes de communication, la première règle est bien sûr de « continuer à communiquer », comme on le fait déjà. Il n’est pas pertinent de démarrer un fil d’actu ou des articles de fond si on ne l’a jamais fait auparavant. Ne pas jouer la carte de la récupération ou de l’opportunisme, c’est bien la première règle de la communication de crise. Une crise n’est pas un show, l’image de marque serait complètement mise à bas par les acteurs du marché s’ils le percevaient comme tel.

La communication de crise va suivre les mêmes méthodes que les communications externe et interne mises en place par l’entreprise. Le calendrier rédactionnel peut être par contre revu pour coller à l’actualité mais ce n’est pas une communication à part. C’est la crise qui est à gérer en tant que telle, avec ses phases : phase préliminaire, phase aiguë, phase chronique et phase de cicatrisation. Chaque phase amènera son lot de lamentation et d’opportunité pour améliorer l’organisation ! Chaque phase sera accompagnée d’une communication pertinente en respectant les conseils proposés ici et surtout en restant en cohérence avec la communication de l’entreprise, ses valeurs et sa vision.

Quelques conseils sont intéressants à réfléchir, en fonction des pratiques de l’entreprise… (à suivre sur :

groupe Dinamic #J’aiFaitDinamic)

Communication et pertinence sur le web

De bonnes pratiques à reprendre pour avoir un site web en lien avec son offre, les équipes qui la mettent en oeuvre et les valeurs de l’entreprise : à relire sur Econsultancy

Ces propos sont tout à fait en écho à une parole de communiquant Jean-Marc Segati, dg de l’agence Big Success, sur le site e-marketing :

« Quel que soit le support, attention toutefois d’adapter le message s’il a le moindre risque d’être à contretemps, hors propos ou mal perçu. Tous les médias font des efforts pour prendre en compte cette crise majeure en baissant leurs prix, en mettant à disposition des espaces, en proposant des articles personnalisés, des solutions flexibles… »

emarketing

story telling

Le story telling selon Tibco

Avec le story telling, Tibco met en valeur ses offres et ses équipes. Et en mettant en œuvre la collaboration entre une auteure de nouvelle professionnelle et un dessinateur de BD, le résultat est percutant : pédagogie, clarté, émotion, tout y est pour que le savoir-faire et le savoir-être de Tibco soit lisible et explicite et surtout que cela donne envie aux Tib’s, les collaborateurs, de proposer les services numériques et réseaux les plus pertinents à leurs clients et aux nouvelles recrues d’intégrer en fluidité et en souplesse cette belle PME !

digitalisation, ok dès que c’est utile !

Non, tout n’est pas digitalisable.

Même pour une formation, on peut jouer sur le présentiel et le distanciel, le numérique pendant le présentiel et bien sûr le digital en formation à distance… A chaque fois, se poser la question de l’objectif de l’action avant d’utiliser l’outil adéquat…

… et parfois, un bon vieux « crobard » sur une tableau blanc ou une feuille de papier peut suffire. Parfois c’est un post-it (un vrai) qui fait office de passage de témoin !

A lire en diagonale sur un article de webmarketing-com

séminaire « la stratégie digitale en jeu » ADN OUEST octobre 2019

Un retour sur une thématique majeure aujourd’hui : la stratégie digitale.

Lors du séminaire ADN OUEST à l’automne dernier, les réflexions tournent autour de 6 points essentiels :

LE BUSINESS – #businessoriented

  • différenciation via le web = bcp de leads même si pas bcp de nouveaux clients
  • prendre le temps de la créativité et de la stratégie
  • projet global : web + rfct produit + pricing + SEA + stock + nom de domaine + actu
  • 18 mois pour les premiers résultats après changement stratégie

LA DATA – #datadriven

  • tout est data !
  • l’enjeu de la data : être au service de !
  • être datacentric pour l’efficacité opérationnelle, le développement commercial et l’innovation
  • la data pour prendre des décisions et se différencier par la valeur

LE CLIENT – #customercentric

  • le ressenti dépasse le dit ou le fait, l’expérience construit les souvenirs
  • l’utilisateur se souviendra et va créé l’image de marque et l’ancrage
  • mode projet : construction (aligner l’offre sur les attentes), mesure (avec indicateurs performants) et analyse (des avis) pour amélioration de l’offre

LE SI – #technopush

  • le SI doit être flexible et un accélérateur de l’innovation
  • le SI est créateur de valeur business
  • pour mettre en place une pltf numérique :
    • évaluer la maturité du SI,
    • adapter son organisation
    • urbaniser le SI,
    • poser une gouvernance de pilotage.

LES PERFORMANCES – #processtransformation

  • le digital touche tous les secteurs et tous les métiers dans l’entreprise
  • è diminution des tâches à faible VA
  • è décloisonnement des silos
  • penser à la chaîne de valeur, l’expérience client, la gestion de produit, l’agilité à l’échec
  • diagnostiquer la maturité digitale
  • créer une organisation apprenante et agile

L’HUMAIN – #socialdigital

  • digital = anticiper, coopérer et innover
  • l’humain au cœur, oui mais comment on fait ?
  • 1 – engagement réciproque
  • 2 – 3 cerveaux / 3 émotions / 3 fonctionnels = trouver la bonne motivation
  • par où commencer ? 1 le dirigeant, 2 les middle managers, 3 une approche systémique, 4 le travail collectif

Comment rater sa stratégie digitale ?

Un rappel d’Emmanuel Derrien, CEO de Enjoy your Business, lors de la journée ADN OUEST « digital week » en octobre 2019 :

LES 7 ERREURS POUR PLANTER SA STRATEGIE DIGITALE :

1 – travailler à l’arrache (sans analyse, sans swot, comme je sens)

2 – rester tout seul pour construire sa stratégie

3 – ne pas formaliser et rester abstrait

4 – louper le lancement (pas de séminaire, pas de com’)

5 – ne pas communiquer pendant le projet

6 – ne pas faire adhérer les collaborateurs

7 – être aveugle sur l’avancée des différents projets

DU BON SENS COMME TOUJOURS : cela ressemble à une mauvaise conduite de projet ! Comme quoi, quand on revient aux objectifs, aux enjeux surtout, et qu’on déploie le mode projet, on est plus sûr d’obtenir de très bons résultats et de pouvoir absorber les impondérables des situations risquées que l’entreprise peut vivre dans la « vraie vie » !