la crise du covi-d nous oblige à réévaluer l’utilité sociale des métiers

Très bel article de Dominique Meda, tellement bien exprimé pour mieux réfléchir !

En voici un extrait : « Des bataillons d’aides-soignantes et d’aides à domicile – en très grande majorité des femmes – assument des tâches cruciales pour la solidarité entre les générations. Ils assurent la toilette, les repas, l’aide aux gestes essentiels de nos seniors dépendants. Faute de reconnaissance et de rémunération suffisantes, de moins en moins de personnes effectuent ces activités difficiles. Mais on peut aussi penser aux éboueurs, aux personnels des commerces alimentaires…

Soudainement, les titulaires des métiers les mieux payés nous apparaissent bien inutiles et leur rémunération exorbitante. L’un des premiers enseignements de la crise sanitaire, en somme, c’est qu’il est urgent de réétudier la « hiérarchie » sociale des métiers, en accord avec nos valeurs et relativement à leur utilité réelle. »

communication et crise du covi-d

Communication de crise – un article dans la page LI du groupe Dinamic #J’aiFaitDinamic :

En cette période exceptionnelle de crise sanitaire, où le confinement bouleverse l’économie autant que le quotidien, l’entreprise se doit de trouver sa voix et de communiquer clairement sur la situation.

Après la stupeur et le premier effet K.O. de la crise, en termes de communication, la première règle est bien sûr de « continuer à communiquer », comme on le fait déjà. Il n’est pas pertinent de démarrer un fil d’actu ou des articles de fond si on ne l’a jamais fait auparavant. Ne pas jouer la carte de la récupération ou de l’opportunisme, c’est bien la première règle de la communication de crise. Une crise n’est pas un show, l’image de marque serait complètement mise à bas par les acteurs du marché s’ils le percevaient comme tel.

La communication de crise va suivre les mêmes méthodes que les communications externe et interne mises en place par l’entreprise. Le calendrier rédactionnel peut être par contre revu pour coller à l’actualité mais ce n’est pas une communication à part. C’est la crise qui est à gérer en tant que telle, avec ses phases : phase préliminaire, phase aiguë, phase chronique et phase de cicatrisation. Chaque phase amènera son lot de lamentation et d’opportunité pour améliorer l’organisation ! Chaque phase sera accompagnée d’une communication pertinente en respectant les conseils proposés ici et surtout en restant en cohérence avec la communication de l’entreprise, ses valeurs et sa vision.

Quelques conseils sont intéressants à réfléchir, en fonction des pratiques de l’entreprise… (à suivre sur :

groupe Dinamic #J’aiFaitDinamic)

Dinamic accompagne les entreprises dans la crise sanitaire

A retrouver sur LinkedIn et le groupe Dinamic LinkedIn, un article que j’ai écrit sur la relation client

La relation client est essentielle quand le confinement rebat les cartes. Il faut poursuivre les actions déjà mises en place et les optimiser avec le distanciel : – rester en contact (téléphone, Skype, Teams, Zoom et tous les outils de partage doc utilisés traditionnellement), – écouter, accompagner, comme d’habitude, – prévoir l’accompagnement à mettre en place en fonction des nouvelles priorités des clients et des changements de programme, – proposer une offre même en application dégradée, – gérer les projets commerciaux, penser différemment leur mise en place en fonction des disponibilités chez le client, – faire du réseau pour le client (en fonction de ses attentes ou contraintes même hors champ de la mission), – poursuivre la communication sur les réseaux sociaux, raconter la story de l’entreprise pendant la crise, valoriser les choix stratégiques ou les actions menées, rester en contact ! Mettre l’humain au cœur des processus, ne pas jouer l’opportunisme mais rester présent, à l’écoute. Que le client puisse continuer à compter sur nous !

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Dinamic s’organise pour accompagner les entreprises dans la crise du covi-d, cela se passe sur le groupe #JaiFaitDinamic / Comment gérer la crise du coronavirus et préparer la relance ?

Et tout est expliqué sur le site web Dinamic !

 

digitalisation, ok dès que c’est utile !

Non, tout n’est pas digitalisable.

Même pour une formation, on peut jouer sur le présentiel et le distanciel, le numérique pendant le présentiel et bien sûr le digital en formation à distance… A chaque fois, se poser la question de l’objectif de l’action avant d’utiliser l’outil adéquat…

… et parfois, un bon vieux « crobard » sur une tableau blanc ou une feuille de papier peut suffire. Parfois c’est un post-it (un vrai) qui fait office de passage de témoin !

A lire en diagonale sur un article de webmarketing-com

La mixité n’est peut-être pas pour demain…

Une étude intéressante de Springer qui laisse encore la place à des prises de conscience pour des actions en faveur de la mixité. Sans parler de combat, c’est une vigilance de tous les instants, dirait-on !

Les initiatives personnelles et à l’échelle de l’entreprise sont donc bienvenues pour éviter l’ancrage des stéréotypes.

Bien sûr il y a le salaire :

Despite growing impetus and numerous efforts to promote gender equality, women continue to earn less than men in nearly every profession (Carnevale et al. 2018), yielding an average gender pay gap of 16.6% worldwide, with some countries showing gaps of up to 47.2% (International Labour Organisation 2019).

Et il y a la formation des compétences qui semble-t-il est genrée !

Research suggests that men generally perform better than women in bilateral bargaining situations, with some exceptions (Mazei et al. 2015)

 

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Story telling avec Dinamic Entreprises

La petite histoire de Dinamic Entreprises

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En  2015, j’accompagnais ECOPLAGE, concepteur et maître d’œuvre d’une solution innovante pour lutter contre l’érosion des plages. Société implantée à Ste Luce sur Loire (44), Ecoplage accompagne des communautés urbaines françaises et des sites privés à l’international.

ECOPLAGE BASSE DEF

Arnaud Ballay, pilote Dinamic et directeur technique d’Ecoplage en parle :

« Nous suivons toujours les indicateurs mis en place lors de Dinamic en 2015, et la réunion initiée hebdomadairement permet de piloter l’activité. Le management des agents à l’export est compliqué mais les outils mis en place fonctionnent. Le lancement du projet ENERPLAGE prend tout notre temps et c’est un effort permanent pour travailler le réseau. Là encore nous mettons en œuvre ce qui a été proposé avec Dinamic. »

Retrouvez ECOPLAGE sur : www.ecoplage.fr

La place des femmes dans l’informatique… comment dire ?

La place des femmes dans l’informatique…

« Femmes et Tech sont-ils des mots qui ne vont pas bien ensemble ? Les femmes ne représentent que 16 % des salariés dans les métiers Tech et 8 % des entrepreneurs Tech. Quand elles fondent une start-up,elles lèvent deux fois moins d’argent que leurs homologues masculins »

à lire dans « 2019 livre-blanc- juin 2019 les femmes dans l’informatique wtj » et à méditer pour améliorer la situation, la mixité doit être à minima ce que les entreprises doivent gagner pour être plus performantes !

 

Les inégalités du premier emploi : les femmes visées !

Un dossier de l’APEC très clair, document à charge pour voir (à défaut de comprendre et d’agir) comment on en est encore là sur la discrimination : 2019 Inégalités en début de carrière

 

Un peu d’humour au détour d’un musée

L’ancêtre du multi-fenêtrage sous Windows ou Apple : qu’aurait inventé encore Leonardo da Vinci s’il avait vécu au 21è siècle plutôt qu’à la Renaissance ?

REALITE VIRTUELLE selon REALITIM –atelier été 2019 à Nantes – via RESSOURCE, groupements d’indépendants créé en 2018

Belle expérience d’atelier en situation avec REALITIM et grâce au réseau RESSOURCE autour de la réalité virtuelle et de l’immersive learning.

En préambule, c’est quoi la différence entre réalité virtuelle (RV) et réalité augmentée (RA) ?

  • La RV permet de s’immerger dans un environnement créé de toutes pièces et donc virtuel, en 3D, où l’on évolue avec son imagination ; un casque est nécessaire. La RV transforme actuellement les secteurs du jeu vidéo, de l’éducation, du médical et du militaire ;
  • La RA part du monde réel pour y ajouter des éléments virtuels (images, indications chiffrées, éléments 3D par exemple) ; des lunettes sont nécessaires (mais donc moins encombrantes qu’un casque de RV).

 

À savoir :

  • 50% de l’info sont oubliées en 1 heure et c’est 90% en 1 mois !
  • en posture de jeu avec le casque sur la tête, 30% des gens n’avancent pas sur la planche qui s’affiche devant eux, dans le vide alors qu’ils ont les pieds bien posés sur le sol dans la salle !

La RV ou comment permettre au cerveau d’ancrer une expérience au niveau du corps et pas seulement de l’esprit ! Le corps qui s’en souvient aura plus facilement la bonne réaction face à la situation.

C’est le même principe qu’en sophrologie quand on fait de la visualisation positive. On bluffe ainsi le cerveau (logiquement l’hémisphère gauche si jamais il existe !!) en lui faisant croire qu’on a déjà réalisé l’action ou vécu l’événement et zou… on est super efficace en mode réel par la suite !

En formation, c’est génial pour accompagner des techniciens de l’extrême, je pense par exemple aux techniciens télécoms qui grimpent sur un pylône et qui sont forcément « tout seul » là-haut ! Idem pour de la sécurité incendie ou des situations d’urgence qu’on ne peut pas reproduire facilement et qui ne sont jamais tant comprises que dans le vécu.

L’immersive learning accompagne tout à fait bien le e-learning.

Le e-learning permet de simplifier la transmission des compétences grâce aux outils numériques, comme le dit si bien LEARNATECH, un spécialiste du e-learning. Et comme l’immersive learning permet d’ancrer l’apprenant dans la réalité de la discipline sur laquelle il se forme, coupler les deux revient à multiplier les moyens de monter en compétences les apprenants pour une prise de poste plus rapide et une assurance dans le geste plus accessible.