le marketeur acteur du RGPD
Quand le marketeur se doit d’être acteur du RGPD, comme acteur de la cybersécurité et garant de la bonne gestion de l’information dans la relation client !
A découvrir sur Forbes !
Quand le marketeur se doit d’être acteur du RGPD, comme acteur de la cybersécurité et garant de la bonne gestion de l’information dans la relation client !
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Les grands classiques à l’honneur : le content marketing comme un axe de conversion des visiteurs en futurs clients !
A lire sur le Blog du Modérateur !
Après ces méthodes pour convertir un contact en client, le travail de la relation client sera primordial dans un second temps. Axe vital qui permet de fidéliser ses contacts et de les transformer en futurs « clients-à-nouveau » ou ambassadeurs ou prescripteurs… Et toujours le content marketing et la cohérence de la communication pour réassurer !
Le Nouvel Obs avait mené l’enquête sur la place des femmes dans les médias… à méditer !
Beau parallèle avec l’article de l’Express sur le sexisme à la radio : RTL et Europe 1 peuvent mieux faire, France Inter peut s’améliorer encore.
Quand le marketing de contenu rime avec story telling !
A re-découvrir sur e-marketing !
Les grandes idées sur les tendances 2019 du marketing des réseaux sociaux… après 3 mois de recul, qu’est-ce que cela donne ?
A lire sur le blog du modérateur !
LESSON 4 – Some good advices for story telling (from « once upon a digital time » by Brian Solis for LinkedIn) :
Une conférence éclairante du patron de Leclerc lors du Digital Change 2019. Michel-Edouard Leclerc se dit fier de ses adhérents et sait citer ses partenaires gagnants. Voici quelques données qui prêtent à réfléchir sur l’évolution du retail en France.
Retour sur l’expérience de Landernau : ne pas confondre individualisme et in dépendance dans l’aventure Leclerc. Un magasin physique c’est un mélange d’entreprenariat (ego+projet) et de mutualisation des compétences !
Comment Leclerc a investi dans l’informatique ? 1 consommation des softs, 2 partage et échange avec les prestataires, 3 maîtrise de la question du réseau IT et 4 arrivée dans le digital !
Près de 10% du CA est fait en digital, le navire amiral (l’hyper !) réalise 70% et les Drive ont permis une croissance du CA depuis leur installation. L’innovation aujourd’hui : les points relais (expérience nouvelle sur Paris) pour adresser les piétons (le terme « drive piéton » est antinomique sur Google !!) : cf 50% des Français ne voudrait pas avoir affaire avec la livraison chez eux.
Attention : le digital ne se substitue pas à la promesse commerciale ; il faut le faire à sa mesure !
LESSON 3- Some good advices for story telling (from « once upon a digital time » by Brian Solis for LinkedIn) :
Retour du Digital Change 2019 avec les nouveaux horizons de la relation client par la BPCE
Yves Tyrode, directeur général en charge du digital au sein du groupe BPCE, pilote depuis 2016 la transformation digitale du groupe bancaire. Il est reparti de son expérience chez Voyages SNCF et avant chez France Telecom. Lors de la conférence du 22 janvier, il a balayé les grandes dates de la relation client (« Pour comprendre ce qui va se passer, il faut regarder dans le rétroviseur. ») avant d’expliquer les grands principes du digital pour BPCE.
Retour sur l’histoire de la RC :
On est passé de « tout sous le même toit » (Carrefour) à « tout depuis chez moi » (Amazon).
C’est-à-dire simplicité + massification des usages. Le client pilote tout.
La transformation digitale se fait pour et par le client et avec le collaborateur. Le départ c’est l’expérience utilisateur et l’arrivée c’est la donnée.
Pour BPCE, la transformation digitale est pensée pour 2020.
1 : banque au quotidien « self care » avec la pertinence des services et la gestion du produit
2 : vente avec beaucoup d’engagement et une expérience digitale avec une expérience humaine ; le digital ne se substitue pas à l’humain ; digitalisation BtoB = présence sur Internet è parcours de vente et autonomie è finir la vente en parlant à quelqu’un
3 : le digital se doit d’être inclusif (des collaborateurs) = obligation de formation et de management
4 : prendre la data sous l’angle de l’usage et pas de la technologie (cf Amazon et Booking)
L’ADN d’une banque, c’est la data (data financière, date santé). La banque a l’obligation de traiter la data d’une manière responsable. Et sans monétisation !
LESSON 2 – Some good advices for story telling (from « once upon a digital time » by Brian Solis for LinkedIn) :