story-telling ou imaginaire ?
Boris Cyrulnik ( « Ivres paradis, bonheurs héroïques ») ne pense pas au story telling des marketeurs quand il dit : « une fiction possède un pouvoir de conviction supérieur à une explication rationnelle. L’imaginaire dit le vrai en montrant le réel à travers une loupe qui grossit les événements et les donne à voir intensément. »
Pour la com’, c’est tout à fait cela. Et tant mieux si on amène le collaborateur ou le client à plus d’émotion. Cela veut dire que la relation est créée, humaine et originale.
Par contre, si on prend du recul au niveau politique, alors attention à l’usage que l’on fait de la fiction si elle sert de publicité à des courants politiques et pour un spectateur sans recul qui tombe aux mains d’un pouvoir émotionnant !
